By Sara Cecile
The Monarch Butterfly is a unique species which migrates annually from breeding grounds in southern Canada to its overwintering habitats in the south. There are two Canadian populations of Monarch: the western population, which breeds in B.C. and migrates to California, and the eastern population, which is distributed from Alberta to the Maritimes and overwinters in Mexico.
This impressive insect faces many threats and is in need of conservation action. In an attempt to discover more about the Monarch Butterfly in Canada, I reviewed the current data available on iNaturalist (a citizen science project that documents wildlife) to see if I could find any patterns or interesting information about this species at risk. Here’s what I found.
This is an amazing number of observations. Due to an exponential increase in iNaturalist observers over time, the number of observations of Monarchs in Canada have greatly increased over the years. As a potential result of this increase, the active season of the Monarch in Canada has been observed getting longer each year, with sightings as early as April and sometimes lasting into November.
Some of the locations of observations were surprising, as Monarchs were sighted in areas outside of their normal Canadian range. One of the sightings was in Gros Morne National Park, Newfoundland. Yes, Monarchs crossed the Atlantic to reach the island of Newfoundland! Another Monarch was observed in northern Ontario near James Bay! The northernmost observation was near Edmonton, Alberta.
Comparing the number of observations from January to mid-September for 2019 and 2020, there are about 1,000 fewer observations in 2020. This defies the general trend of increasing observations annually, begging the question if 2020 was not a great year for the Monarch.
Monarchs depend on milkweed plants to lay their eggs on and feed them in their caterpillar stage, so planting local species of milkweed is an action you can take to help the Monarch. You can also plant other native wildflowers that produce nectar for the adult Monarchs to feed on.
Check out our blog on how to create your own mini Monarch meadow! Want to contribute to science? You can by documenting your observations of Monarchs using iNaturalist.
Par Sara Cecile
Mais saviez-vous que ce magnifique papillon est aussi une espèce en péril? Le monarque est désigné comme étant une espèce en voie de disparition par le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC).
Le papillon monarque est une espèce unique qui migre annuellement de ses aires de reproduction dans le sud du Canada vers ses habitats d’hivernage dans le sud. Il y a deux populations canadiennes de monarques : la population de l’ouest, qui se reproduit en C.-B. et migre vers la Californie, et la population de l’est, répartie de l’Alberta jusqu’aux Maritimes, qui se rend au Mexique l’hiver.
Cet impressionnant insecte est confronté à de nombreux défis. Nous devons agir maintenant pour le conserver. Afin d’en apprendre plus sur le papillon monarque au Canada, j’ai examiné les données disponibles dans iNaturalist (un projet de science citoyenne qui consigne les animaux sauvages) pour voir s’il existait des tendances ou des renseignements importants sur cette espèce en péril. Voici ce que j’ai trouvé.
C’est beaucoup d’observations! En raison de l’augmentation exponentielle d’observateurs dans iNaturalist au fil des ans, le nombre d’observations de papillons monarques s’est accru. Comme résultat potentiel de cette augmentation d’observations, la saison active des monarques au Canada semble être plus longue tous les ans, des observations ayant été enregistrées aussi tôt qu’avril et aussi tard que novembre.
Certains des endroits où l’on a observé des monarques étaient étonnants, car ils étaient à l’extérieur de leur aire de répartition habituelle. Une des observations était dans le parc national du Canada Gros Morne à Terre-Neuve-et-Labrador. Oui, le monarque avait traversé l’Atlantique pour se rendre sur l’île de Terre-Neuve! Un autre monarque a été observé dans le nord de l’Ontario près de la baie James! L’observation la plus au nord été à Edmonton en Alberta.
En comparant le nombre d’observations de janvier à la mi-septembre de 2019 et de 2020, on remarque qu’il y a environ 1 000 observations de moins en 2020, ce qui va à l’encontre de la tendance générale de l’augmentation du nombre d’observations annuellement et nous mène à penser que 2020 n’a pas été une très bonne année pour le monarque.
Il y a plusieurs façons d’aider le monarque et de surveiller l’espèce. Vous pouvez commencer en vous renseignant davantage. De nombreuses ressources sont accessibles en ligne, dont Faune et flore du pays, Monarch Watch, Monarch Joint Venture, Journey North et Mission Monarch.
Le monarque dépend de l’asclépiade pour pondre ses œufs et le nourrir au stade de chenille. Vous pouvez donc en planter pour aider ce papillon. Vous pouvez aussi cultiver d’autres fleurs sauvages qui produisent du nectar comme source de nourriture pour le papillon adulte.
Consultez notre blogue sur la façon de créer votre propre petit pré pour le papillon monarque! Voulez-vous contribuer à la science? Vous pouvez consigner vos observations de monarques dans iNaturalist.
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